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Le chemin du marcheur des déserts

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À propos de nous

Deserts Walker est né d’une passion pour la solitude, la beauté et la richesse culturelle des déserts du Maroc. Fondé par un explorateur et photographe des déserts, le blog a pour but de partager ces expériences et de connecter d’autres voyageurs au cœur de ces paysages extraordinaires.

Les voyages qui m’ont marqué

Traversées du désert

Trois voyages. Trois histoires. Chaque traversée a apporté ses propres défis, silences et surprises. Voici un aperçu de chacun de ces voyages.

Foum Zguid

5 jours
130 km

Merzouga

13 jours
250 Km

Tantan

30 jours
840 Km
FAQ

Perdu dans les sables ? Voici les réponses !

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Jusqu’à présent, j’ai emprunté trois routes à travers le désert marocain. De M’Hamid El Ghizlane à Foum Zguid, de M’Hamid El Ghizlane à Merzouga, et de M’Hamid El Ghizlane à TanTan.

Marcher seul dans le désert peut être risqué à cause des conditions difficiles et des défis liés à la navigation. Mais si vous préparez bien vos itinéraires et avez de l’expérience avec les chameaux, vous pouvez marcher seul en toute sécurité. Beaucoup de voyageurs commencent avec un guide ou en groupe avant de s’aventurer seuls, afin de gagner en confiance et en compétences.

Je commence à me préparer bien avant le départ. J’étudie les cartes pour repérer les lieux de repos et de ravitaillement, j’entraîne mon corps, je vérifie la météo et je n’emporte que l’essentiel.

Pour moi, la meilleure période pour traverser le désert se situe entre l’automne et le printemps. Notamment d’octobre à avril. Les températures sont plus douces, ce qui rend les traversées plus agréables.

Vous aurez besoin de l’équipement de base : un sac à dos, un sac de couchage, une tente et des vêtements protégeant du soleil avec un foulard. Le plus important, c’est d’avoir quelqu’un qui connaît les chameaux, car ils peuvent être imprévisibles. Mais avec le temps, on apprend à les comprendre et l’on peut traverser le désert seul, sans guide nomade

Oui, je traverse le désert à pied. C’est lent et difficile, mais cela m’aide à avancer avec prudence et à apprécier chaque instant du voyage.

Avant de partir, je planifie mon itinéraire en repérant les points clés et en connaissant les distances, les arrêts et les provisions nécessaires chaque jour. J’emporte un GPS et des cartes hors ligne, mais comme il n’y a pas de routes, elles ne montrent pas les pistes — elles m’aident cependant à garder le cap, vers le sud, l’est, le nord ou l’ouest. Les nomades que nous rencontrons nous guident en partageant des informations sur les points d’eau proches et en confirmant notre route.

Dans le désert, tout semble m’appartenir, cette vaste étendue vide où il n’y a rien d’autre, et pourtant tout m’appartient. Marcher me permet de me connecter profondément à ce lieu, de ressentir chaque pas d’une manière étrange et magnifique. Dans un voyage confortable, on ne se concentre pas sur soi-même, mais ici, chaque pas me rappelle qui je suis vraiment.

Nos galeries

Souvenirs du désert

Découvrez les histoires capturées dans chaque photo. Couchers de soleil, dunes silencieuses et beauté brute de la vie dans le désert.